Dernière mise à jour le 15 avril 2025
Je suis une fidèle abonnée de Desk Russie depuis son tout début, et j’apprécie votre remarquable travail de dénonciation des ingérences russes, ainsi, bien sûr, que votre combat pour l’Ukraine.
Je suis scandalisée de la présence au Salon du Livre de Xenia Fedorova sur le stand Fayard pour son livre Bannie, ce samedi 12 avril. Cela contredit justement le titre du livre.
Qu’en pensez-vous ? Ne faudrait-il pas au contraire bannir ces voix de Moscou, d’autant plus que la guerre continue à faire rage et que la propagande russe redouble de vigueur ? Il faudrait sans doute une action commune, associations, etc.
Restant à votre disposition,
Amicalement,
Dominique V., le 10 avril 2025
Bonjour,
Un petit mot pour remercier et féliciter chaleureusement madame Françoise Thom pour la qualité de son excellent article sur les visées américaines de la Russie de Poutine.
La lecture de ce papier terrifiant devrait être conseillée à chaque Américain… avant qu’il ne soit trop tard.
Mais il est sûrement déjà trop tard.
Et notre impuissance face au désastre que l’on voit se profiler devant nous rend cette réalité encore plus dure à accepter.
Nous sommes les témoins tétanisés de la démolition d’un monde et de la naissance du chaos.
Merci à toute votre équipe également, pour l’éclairage indispensable qu’elle nous offre depuis bientôt 4 ans, nous donnant ainsi matière à résister à la propagande aussi vivace que nauséabonde du Kremlin.
Bravo à vous.
David B., le 30 mars 2025
Le 24 février 2025, trois ans après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, nous assistons à un défilé de chefs d’États européens à Washington. La venue d’E. Macron est prévue ce jour-là . Le moment est mal choisi pour rencontrer le nouveau président des USA qui vient d’afficher son allégeance à Moscou. Le voir oui, mais pour lui dire quoi ?
Depuis son investiture, Donald Trump a mis son programme de règlement de la guerre en Ukraine sur la table. Sa conversation téléphonique rendue publique avec Poutine est la liste de tous ses renoncements, au point d’avoir du mal à distinguer son programme de celui du chef du Kremlin : 20 % de l’Ukraine cédés à la Russie, non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, Zelensky traité de dictateur, l’Ukraine devenue agresseur de la Russie, le financement de la reconstruction de l’Ukraine à la charge de l’Europe…
Par ces déclarations, le locataire de la Maison-Blanche fait des États-Unis, jusqu’alors l’allié de l’Europe, un complice du dictateur du Kremlin. Aligné sur les positions de Poutine, méprisant l’Ukraine et l’Europe, les premiers concernés, nous pouvons nous demander ce que vont lui dire nos dirigeants à Washington. Les Ukrainiens combattent pour notre liberté à tous. Leurs alliés sont-ils à la hauteur ? Après l’inaction, les atermoiements, n’est-il pas temps qu’ils affirment clairement leur soutien à l’Ukraine ? L’heure de la politique-business est terminée.
Nous assistons à un partage du monde entre deux grandes puissances nucléaires, à un démantèlement ne tenant aucun compte des traités internationaux établis depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, au piétinement de la charte de l’ONU. La victoire de la force sur le droit ouvrirait la porte à toutes les aventures guerrières. À Munich, J. D. Vance, vice-président des USA, a dit que les ennemis de son pays ne sont pas la Chine ou la Russie, mais les lois sur la liberté d’expression prises par des États européens.
Nous, Européens, ne sommes pas devenus les vassaux des Américains. Nous n’acceptons pas que le dictateur Poutine avec l’appui de Trump règne sur nos pays.
Condamné par la Cour pénale internationale pour la déportation d’enfants, commanditaire de multiples assassinats, auteur d’une guerre qui détruit un pays et provoque des centaines de milliers de victimes, Poutine n’a pas sa place à la table de négociation, mais sur le banc des accusés. Trump non plus, il devrait être également devant les tribunaux pour tentative de coup d’État après l’assaut du Capitole. Allons-nous laisser ces passibles de justice modeler le monde à leur profit ?
La place de l’Europe n’est pas à Washington, elle est à Kyïv.
Dans ce grand bouleversement auquel on assiste en direct, une voix forte de l’Europe est indispensable. Je me prends à rêver à celle d’un de Gaulle ou d’un Churchill affirmant haut et fort les valeurs démocratiques. Pour que cette voix soit entendue, il faut que l’Europe se retrouve à Kyïv et non à Washington.
L’image des chefs d’État européens avec la Grande-Bretagne et le Président Zelensky ensemble sur la place Maïdan serait la meilleure réponse à Poutine et Trump. À cette assemblée pourrait se constituer une coalition qui dirait « niet » aux tentatives de régler le sort de l’Europe sur son dos. Cette coalition pourrait affirmer qu’elle ne participera pas à un simulacre de négociation sans l’Ukraine, pas plus que ne sera présente l’Ukraine sans l’Europe. Elle pourrait annoncer l’accentuation de son effort de défense et les grandes lignes d’un programme de paix.
À ceux qui ne comprennent que la force, il faut montrer qu’ils n’ont pas toutes les cartes en mains. La Russie n’est pas en aussi bonne santé qu’elle le dit et l’Europe peut être forte, unie et déterminée face à la barbarie.
Roger E., le 23 février 2025
Dans la newsletter n° 94, nous avons demandé à nos abonnés s’ils consultent les rubriques Agenda et Nouvelles parutions de notre site. Plusieurs d’entre vous nous ont répondu. Nous publions ici quelques extraits de ces messages. Par souci de confidentialité, nous ne mentionnons que les prénoms et l’initiale du nom. Nous vous remercions chaleureusement pour ces précieux retours.
Bonjour,
Dans le dernier Desk Russie, vous demandez un retour sur la fréquentation de ces rubriques.
Je vous confirme que je lis avec grand intérêt et curiosité – non seulement TOUTES les éditions de Desk Russie – mais également les agendas et nouvelles parutions.
Je vous souhaite bonne continuation, de la patience et bon courage.
Slava Ukraine !
Andrea A.
Je lis toujours les rubriques Agenda et Nouvelles parutions.
N’étant pas sur Paris, je ne vais pas aux événements prévus, mais quand il y a une conférence qui est mise en ligne, il m’arrive de l’écouter.
Quant aux livres, j’en achète régulièrement suite aux conseils que vous donnez sur votre site.
Mes remerciements pour votre investissement et votre travail.
Nathalie P.
Je consulte votre rubrique Nouvelles parutions avec beaucoup d’intérêt.
Bravo pour votre excellent travail !
Louise H.
Un petit mot pour vous informer que j’utilise avec grand intérêt votre service Agenda et peux désormais assister à certaines activités.
Un grand merci.
Marie L.
Je voudrais vous remercier du fond du cœur pour votre extraordinaire travail, qui montre toute l’intelligence, la compétence et le dévouement des contributeurs.
Par ailleurs, j’ai effectivement remarqué que la présentation du site avait changé, elle est désormais très claire et il est facile et agréable de naviguer dedans.
Je vous lis très régulièrement, j’ai déjà fait un petit versement il y a quelques mois, ce que, bien sûr, je vais réitérer très prochainement.
Claire M.
Abonnée à votre site, je me permets de vous donner mon avis, comme vous le demandez dans votre dernier envoi, quant aux rubriques Agenda et Nouvelles parutions.
Habitant en Belgique, je ne consulte pas l’agenda, les événements se déroulant essentiellement en France.
En revanche, je consulte très fréquemment tout ce qui se rapporte aux nouvelles parutions : j’y trouve de nombreuses suggestions de lecture, me permettant de me tenir informée du contexte géopolitique actuel et/ou de découvrir des auteurs.
Très satisfaite du contenu de cette rubrique, je ne peux qu’encourager votre association à l’alimenter régulièrement, tant elle est utile à la lectrice que je suis.
Bonne continuation à toute l’équipe !
C. P.
Lectrice assidue de Desk Russie, je consulte peu l’agenda. Je suis domiciliée à Bonn, en Allemagne, donc impossibilité d’assister à des événements qui ont lieu en France.
Par contre, j’apprécie particulièrement les Nouvelles parutions, où je puise d’excellentes idées de lecture.
Merci et bonne continuation.
Thérèse P.
Je reçois la newsletter (que je lis attentivement, et grâce à laquelle je suis allée à l’INALCO suivre un débat récemment), mais non, je ne connaissais pas ni n’utilisais la rubrique. C’est vraiment très bien fait. Je vois que de nombreux événements sont organisés.
J’apprécie beaucoup cette rubrique, qui complète souvent (pour les petits éditeurs) ma bibliographie des Rossica qui paraît deux fois par an dans La Revue russe.
Françoise B.
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