Ceux qui souhaitent la victoire de l’Ukraine ne doivent pas désespérer. L’Europe continue à afficher un ferme soutien à Kyïv et, même si la France flanche, elle ne va pas abandonner son nouvel allié.
La culture politique russe a déjà imprégné certains cercles politiques américains. Heureusement, l’opinion américaine demeure majoritairement favorable à Kyïv tout comme l’establishment républicain.
On affirme souvent que l’Inde, avec l’Iran, fait partie de ce club anti-occidental. C’est oublier que les différends entre la Chine et l’Inde sont anciens et profonds.
En Europe, les esprits admettent enfin la profondeur de l’axe stratégique Pékin-Moscou, moteur des dynamiques anti-occidentales et du ressentiment impérialiste.
La Russie mène un travail de sape auprès des Ukrainiens eux-mêmes, mais aussi en infiltrant les cercles de décision occidentaux, à Washington et dans les capitales européennes. Empêcher le soutien occidental à une victoire finale de l’Ukraine et décourager les Ukrainiens de se battre jusqu’à la victoire, tels sont les objectifs russes qu’analyse et dénonce notre autrice.
L’ampleur et l’atrocité de l’attentat de Krasnogorsk ont secoué le monde, en faisant ressurgir des images sanglantes d’autres tueries de masse à travers le monde. Cependant, quarante-huit heures plus tard, on reste interloqué. Sans remettre en question la revendication de cet acte terroriste par la branche afghane de Daesh,...
Comme beaucoup de pro-Poutine, Caroline Galactéros fait preuve d’une certaine prudence pour ne pas ouvertement défendre ce qui est indéfendable, à savoir l’agression russe contre l’Ukraine, mais, comme le montre Vincent Laloy, elle n’a pas changé de bord, loin de là…
La guerre contre l’Ukraine n’a guère infléchi la position,...
La réouverture d’un front sanglant contre Israël par Hamas et le Hezbollah n’est pas une énième péripétie proche-orientale. La Russie, l’Iran et le régime de Damas sont à l’arrière-plan, avec des objectifs variés mais solidaires les uns des autres.