politique

Selon Dupont-Aignan : « Un seul chef d’État dans le monde, Poutine »

Notre auteur poursuit sa série de portraits de poutinolâtres, hélas, nombreux en France. Il dresse ici le portrait de Nicolas Dupont-Aignan, homme politique et chef du petit parti Debout la France, trois fois candidat à l'élection présidentielle. 

Quel sens donner à la réélection de Vladimir Poutine

Le « plébiscite », bien que largement falsifié, témoigne de la force du régime de Poutine, ivre de sa puissance de nuisance et de son contrôle sur la société. 

Poutine ne sera pas « réélu », car ce n’est pas une élection

Aucune élection digne de ce nom ne se tient en Russie. Il est perturbant de voir des médias français et européens reprendre ce récit kremlinesque d'une dictature où l'on voterait encore.

Déstalinisation et dépoutinisation

La Commission électorale russe n’a pas validé la candidature de Boris Nadejdine. Pour l'historienne, l’apparition d’un tel candidat, même rejeté, est un signe d’un après-Poutine qui s’annonce.

Maria Snegovaya : « Après Poutine, il y aura certainement un système autoritaire »

Comment la Russie est-elle tombée dans le fascisme actuel ? Ce pays a-t-il jamais eu une alternative démocratique ? L'ornière russe existe-t-elle ?

Opération spéciale Tucker Carlson

Le Kremlin compte beaucoup sur la défaite de Biden et mobilise le lobby russe aux États-Unis.

Pas de paix sans défaite du régime de Poutine

Il ne suffit pas que l’Ukraine ne perde pas ou que la Russie « ne gagne pas ». Il faut que les dirigeants occidentaux aient une vision claire : la défaite du régime de Poutine est nécessaire.

Boris Nadejdine : un faux espoir

Le frénétique soutien d’une frange de la population et de nombreux opposants en exil à Nadejdine est honteux, car ces élections doivent avoir lieu non seulement en Russie, mais dans les territoires occupés de l’Ukraine.

L’improbable ouverture diplomatique russe et le point aveugle de l’historicisme occidental

La Russie mène contre l’Ukraine une guerre à but absolu, pour l’effacer de la carte politique. Décidément, les Occidentaux doivent réviser leur conception du devenir historique.