Des représentants de la France à Moscou depuis 1945, il y en eut de pires et de meilleurs. Certains parmi eux ont manifesté un tropisme pro-russe parfois très poussé.
La mort d’Alexeï Navalny provoquée par le pouvoir russe a suscité une vague d’indignation à travers le monde. Philippe de Lara fait le lien entre le sort des prisonniers politiques d’aujourd’hui et les dissidents soviétiques de jadis.
Si la victoire de l’Ukraine n'est pas l'objectif de l'Occident — et cet objectif nécessite toute une série de décisions non conventionnelles — alors la guerre s'étendra, elle créera de nouvelles crises et de nouveaux foyers de tension et, à la fin, engloutira le monde affaibli par les « morsures » du prédateur.
Le pogrom à l’aéroport de Makhatchkala a pris le monde par surprise. Comment interpréter cet événement ? Était-il spontané ou s’agissait-il d’une manipulation du pouvoir russe qui aurait ainsi cherché à envoyer des messages à l’Occident et à Israël ?
Moscou continue de miser sur le chantage nucléaire et d'autres menaces d'escalade. Tant que les dirigeants occidentaux se concentrent sur la nécessité d'une désescalade, ils se dissuadent eux-mêmes au lieu de dissuader la Russie.
La Russie mène un travail de sape auprès des Ukrainiens eux-mêmes, mais aussi en infiltrant les cercles de décision occidentaux, à Washington et dans les capitales européennes. Empêcher le soutien occidental à une victoire finale de l’Ukraine et décourager les Ukrainiens de se battre jusqu’à la victoire, tels sont les objectifs russes qu’analyse et dénonce notre autrice.
L’ampleur et l’atrocité de l’attentat de Krasnogorsk ont secoué le monde, en faisant ressurgir des images sanglantes d’autres tueries de masse à travers le monde. Cependant, quarante-huit heures plus tard, on reste interloqué. Sans remettre en question la revendication de cet acte terroriste par la branche afghane de Daesh,...
Comme beaucoup de pro-Poutine, Caroline Galactéros fait preuve d’une certaine prudence pour ne pas ouvertement défendre ce qui est indéfendable, à savoir l’agression russe contre l’Ukraine, mais, comme le montre Vincent Laloy, elle n’a pas changé de bord, loin de là…
La guerre contre l’Ukraine n’a guère infléchi la position,...
La réouverture d’un front sanglant contre Israël par Hamas et le Hezbollah n’est pas une énième péripétie proche-orientale. La Russie, l’Iran et le régime de Damas sont à l’arrière-plan, avec des objectifs variés mais solidaires les uns des autres.