Des représentants de la France à Moscou depuis 1945, il y en eut de pires et de meilleurs. Certains parmi eux ont manifesté un tropisme pro-russe parfois très poussé.
Dans les réseaux sociaux russes, on entend à nouveau des cris de sinistrés. Non, ce n'est pas à cause des répressions politiques ou de la guerre en Ukraine — ce sont les cris de ceux qui souffrent des années 1990.
En Europe, les esprits admettent enfin la profondeur de l’axe stratégique Pékin-Moscou, moteur des dynamiques anti-occidentales et du ressentiment impérialiste.
Un nouveau documentaire, produit par le Fonds anticorruption d’Alexeï Navalny et consacré à la période eltsinienne, a suscité des réactions contrastées. Cette polémique intense en révèle beaucoup sur l’état d’esprit de la société russe.
L’invasion de la Géorgie démocratique par l’Armée rouge, en 1921, a permis le contrôle des bolcheviks sur la mémoire nationale. Les mensonges et les falsifications de l’époque ont toujours cours aujourd’hui.
En 1938, dans les environs de Moscou, toute la troupe du théâtre letton Skatuve a été passée par les armes. Ce meurtre de masse faisait partie de « l’opération lettone » du NKVD. Ces événements sont décrits avec clarté et raffinement dans le film de Davis Simanis Le Silence de Maria.
La Russie mène un travail de sape auprès des Ukrainiens eux-mêmes, mais aussi en infiltrant les cercles de décision occidentaux, à Washington et dans les capitales européennes. Empêcher le soutien occidental à une victoire finale de l’Ukraine et décourager les Ukrainiens de se battre jusqu’à la victoire, tels sont les objectifs russes qu’analyse et dénonce notre autrice.
L’ampleur et l’atrocité de l’attentat de Krasnogorsk ont secoué le monde, en faisant ressurgir des images sanglantes d’autres tueries de masse à travers le monde. Cependant, quarante-huit heures plus tard, on reste interloqué. Sans remettre en question la revendication de cet acte terroriste par la branche afghane de Daesh,...
Comme beaucoup de pro-Poutine, Caroline Galactéros fait preuve d’une certaine prudence pour ne pas ouvertement défendre ce qui est indéfendable, à savoir l’agression russe contre l’Ukraine, mais, comme le montre Vincent Laloy, elle n’a pas changé de bord, loin de là…
La guerre contre l’Ukraine n’a guère infléchi la position,...
La réouverture d’un front sanglant contre Israël par Hamas et le Hezbollah n’est pas une énième péripétie proche-orientale. La Russie, l’Iran et le régime de Damas sont à l’arrière-plan, avec des objectifs variés mais solidaires les uns des autres.