L'idée que les Russes sont majoritairement contre la guerre et, surtout, qu’ils ne sont pas des sujets de l’histoire et de la politique, mais des victimes passives d’un régime criminel, a largement cours au sein de l’opposition russe.
L'idée que les Russes sont majoritairement contre la guerre et, surtout, qu’ils ne sont pas des sujets de l’histoire et de la politique, mais des victimes passives d’un régime criminel, a largement cours au sein de l’opposition russe.
À la veille de législatives cruciales pour la France, notre auteur dénonce des cas de collusion entre l’extrême gauche et l’extrême droite et parle de quelques « aficionados » de Vladimir Poutine.
Dans les réseaux sociaux russes, on entend à nouveau des cris de sinistrés. Non, ce n'est pas à cause des répressions politiques ou de la guerre en Ukraine — ce sont les cris de ceux qui souffrent des années 1990.