La Commission électorale russe n’a pas validé la candidature de Boris Nadejdine. Pour l'historienne, l’apparition d’un tel candidat, même rejeté, est un signe d’un après-Poutine qui s’annonce.
« Et cependant, que deviendrait un pays gouverné despotiquement si un tyran au-dessus de toutes les lois n'avait à craindre des poignards ? Horrible alternative et...