Des représentants de la France à Moscou depuis 1945, il y en eut de pires et de meilleurs. Certains parmi eux ont manifesté un tropisme pro-russe parfois très poussé.
Notre auteur poursuit sa série de portraits de poutinolâtres français. Il se penche ici sur Jean-Pierre Chevènement, l’un des insubmersibles de la politique française.