La politique de Trump semble échapper à toute logique. Le parallèle le plus proche serait la présidence de Franklin D. Roosevelt, dont l’entourage fut truffé d’agents soviétiques.
À la croisée des ambitions turques, russes, chinoises et iraniennes, le bassin de la Caspienne redevient un enjeu stratégique tandis que l’Europe regarde ailleurs.
Une « paix bâclée » imposée par Trump produirait une rupture des équilibres dans la mer Noire et changerait la situation géopolitique dans toute la région.
Les dirigeants américain et russe ont choisi de s’entendre sur le dos de l’Ukraine et des Européens pour imposer leur ordre mondial. L’heure est à l'organisation de la résistance.
La diplomatie américaine pourrait céder à la Russie non seulement en Ukraine, mais sur la totalité de l’Europe centrale et orientale. Ce qui pose l'urgence d’une plus grande autonomie des alliés européens.
La soumission de Trump à Poutine met en péril l'ensemble du continent européen. Face au cynisme américain, Volodymyr Zelensky et ses partenaires européens doivent adopter une position de force.
La « synergie conflictuelle » entre la Russie et la Turquie n’empêchera pas Poutine de poursuivre son action déstabilisatrice en Méditerranée occidentale.
La crise actuelle a de fortes chances de porter au pouvoir un chancelier de l’extrême droite dure pour la première fois depuis la création de la 2e République autrichienne en 1945.
Avec l'entrée en guerre contre l’Ukraine d'un deuxième État doté d'armes nucléaires, les gouvernements des pays démocratiques sont confrontés à des choix de plus en plus difficiles.
Le rapprochement entre la Corée du Nord et la Russie se renforce, malgré le mécontentement de la Chine. Peut-on espérer alors un refroidissement des relations russo-chinoises ?