Fin août, le pape s’adressant à de jeunes catholiques russes a paru reprendre à son compte la rhétorique nationaliste chère à Poutine et aux propagandistes du Kremlin. Ce n’est pas le premier « faux pas » de François depuis le début de la guerre. Le pape ne s’est pas rendu à Kyïv et il n’a toujours pas désigné clairement l’agresseur.
Analyste et philosophe politique, Philippe de Lara se penche ici sur la complexité de la notion de « Sud global ». Le désenchantement croissant vis-à-vis de...