La Russie mène contre l’Ukraine une guerre à but absolu, pour l’effacer de la carte politique. Décidément, les Occidentaux doivent réviser leur conception du devenir historique.
Alors qu’une « sinistre petite musique défaitiste » se fait entendre au sein de la classe politique française, un collectif d’artistes et d’intellectuels appelle le gouvernement à maintenir et renforcer son soutien à Kyïv. Desk Russie publie cette tribune et propose à nos lecteurs de la signer.
Fin août, le pape s’adressant à de jeunes catholiques russes a paru reprendre à son compte la rhétorique nationaliste chère à Poutine et aux propagandistes du Kremlin. Ce n’est pas le premier « faux pas » de François depuis le début de la guerre. Le pape ne s’est pas rendu à Kyïv et il n’a toujours pas désigné clairement l’agresseur.
La guerre en Ukraine a modifié la signification du mot « paix ». Ce n’est pas la « paix » qui défera l'armée de l'agresseur, c’est la capitulation, et les appels à la « paix » sont donc perçus comme pro-russes. Ksenia Tourkova explique comment et par qui ce mot-clé du mouvement pacifiste a été dévalorisé.
L’historienne française Laurence Saint-Gilles s’insurge contre les pressions exercées par de nombreux Occidentaux sur le gouvernement ukrainien pour imposer à l’Ukraine une paix négociée...