politique

Un nouveau documentaire, produit par le Fonds anticorruption d’Alexeï Navalny et consacré à la période eltsinienne, a suscité des réactions contrastées. Cette polémique intense en révèle beaucoup sur l’état d’esprit de la société russe.

La profonde antipathie que les dirigeants géorgiens actuels nourrissent à l'égard de l'Ukraine remonte aux premières années du parti au pouvoir Rêve géorgien, qui a sapé un partenariat stratégique de près de vingt ans entre Kyïv et Tbilissi depuis les premiers jours de l'indépendance.

Notre auteur poursuit sa série de portraits de poutinolâtres, hélas, nombreux en France. Il dresse ici le portrait de Nicolas Dupont-Aignan, homme politique et chef du petit parti Debout la France, trois fois candidat à l'élection présidentielle. 

Le « plébiscite », bien que largement falsifié, témoigne de la force du régime de Poutine, ivre de sa puissance de nuisance et de son contrôle sur la société. 

Aucune élection digne de ce nom ne se tient en Russie. Il est perturbant de voir des médias français et européens reprendre ce récit kremlinesque d'une dictature où l'on voterait encore.

 

La Commission électorale russe n’a pas validé la candidature de Boris Nadejdine. Pour l'historienne, l’apparition d’un tel candidat, même rejeté, est un signe d’un après-Poutine qui s’annonce.

Comment la Russie est-elle tombée dans le fascisme actuel ? Ce pays a-t-il jamais eu une alternative démocratique ? L'ornière russe existe-t-elle ?

Le Kremlin compte beaucoup sur la défaite de Biden et mobilise le lobby russe aux États-Unis.

Il ne suffit pas que l’Ukraine ne perde pas ou que la Russie « ne gagne pas ». Il faut que les dirigeants occidentaux aient une vision claire : la défaite du régime de Poutine est nécessaire.