religion

Les victimes oubliées

Le régime poutinien combat non seulement toute opposition politique, mais toute activité qui ne s’inscrit pas dans son projet national fascisant, comme les Témoins de Jéhovah, condamnés à des peines de prison très sévères.

Petite géopolitique de l’antisémitisme

Sans être l’organisateur machiavélique du pogrom du 7 octobre perpétré par le Hamas, Vladimir Poutine en tire profit, comme il profite de l’antisémitisme qui a désormais contaminé la cause palestinienne, sous le double effet de l’islamisme et du wokisme. Jean-François Bouthors expose une généalogie de la vague antisémite qui balaie le monde depuis le 7 octobre.

François, la Russie et la Chine : un désastre obstiné

Fin août, le pape s’adressant à de jeunes catholiques russes a paru reprendre à son compte la rhétorique nationaliste chère à Poutine et aux propagandistes du Kremlin. Ce n’est pas le premier « faux pas » de François depuis le début de la guerre. Le pape ne s’est pas rendu à Kyïv et il n’a toujours pas désigné clairement l’agresseur.

Quand les icônes se mettent en route

Le pouvoir russe s’est montré prêt à sacrifier un chef-d’œuvre de l’art russe, la Trinité de Roublev, au nom d’impératifs politiques. Pendant ce temps, les Ukrainiens essaient de sauver des joyaux de leur patrimoine, en les envoyant à l’étranger, où ils sont accueillis notamment au musée du Louvre.

La fragilité d’un chef-d’œuvre : « La Trinité » d’André Roublev entre le Musée et l’Église

En juillet, la plus célèbre des icônes russes a quitté la galerie Trétiakov à Moscou, pour rejoindre temporairement le monastère de la Trinité-Saint-Serge. Derrière ce nouvel exemple de la politique menée par le patriarcat de Moscou, qui poursuit sa chasse aux icônes anciennes et très fragiles, il faut voir...

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