La culture politique russe a déjà imprégné certains cercles politiques américains. Heureusement, l’opinion américaine demeure majoritairement favorable à Kyïv tout comme l’establishment républicain.
Ces dernières années, on a vu se constituer en Russie une nouvelle idéologie pseudo-religieuse, lourde des pires dangers spirituels et des plus graves séismes politiques, tant pour le pays que pour l’humanité.
En Europe, les esprits admettent enfin la profondeur de l’axe stratégique Pékin-Moscou, moteur des dynamiques anti-occidentales et du ressentiment impérialiste.
Le discours de la propagande russe trouve un écho chez certains conservateurs. Notre autrice se penche sur la manière dont, bien loin de défendre une « civilisation » européenne, le régime Poutine s’est transformé en une « une secte eschatologique ».
Les Russes n'ont pas pu faire le deuil de leurs proches fusillés ou morts au Goulag, ce qui les a plongés dans une mélancolie impuissante. L’enterrement d’Alexeï Navalny leur a donné la possibilité de faire un deuil salutaire.
Le politologue ukrainien appelle l’Occident à la lucidité, car les propagandistes russes se servent de la culture pour donner une image plus « humaine » à la barbarie génocidaire du régime de Poutine.
Le philosophe politique russe analyse le phénomène des files en Russie : celle pour aller signer pour Nadejdine ; celle pour déposer des fleurs sur la tombe de Navalny ; enfin, celle qui s’est formée le 17 mars en réponse aux appels de l’opposition.
La Russie mène un travail de sape auprès des Ukrainiens eux-mêmes, mais aussi en infiltrant les cercles de décision occidentaux, à Washington et dans les capitales européennes. Empêcher le soutien occidental à une victoire finale de l’Ukraine et décourager les Ukrainiens de se battre jusqu’à la victoire, tels sont les objectifs russes qu’analyse et dénonce notre autrice.
L’ampleur et l’atrocité de l’attentat de Krasnogorsk ont secoué le monde, en faisant ressurgir des images sanglantes d’autres tueries de masse à travers le monde. Cependant, quarante-huit heures plus tard, on reste interloqué. Sans remettre en question la revendication de cet acte terroriste par la branche afghane de Daesh,...
Comme beaucoup de pro-Poutine, Caroline Galactéros fait preuve d’une certaine prudence pour ne pas ouvertement défendre ce qui est indéfendable, à savoir l’agression russe contre l’Ukraine, mais, comme le montre Vincent Laloy, elle n’a pas changé de bord, loin de là…
La guerre contre l’Ukraine n’a guère infléchi la position,...
La réouverture d’un front sanglant contre Israël par Hamas et le Hezbollah n’est pas une énième péripétie proche-orientale. La Russie, l’Iran et le régime de Damas sont à l’arrière-plan, avec des objectifs variés mais solidaires les uns des autres.