Les nouveaux exilés de Russie, échangés contre des « patriotes », s’inscrivent dans une longue tradition. L’auteur rappelle différentes vagues d’exils volontaires ou forcés de l’histoire russe et soviétique.
La première participation de la Géorgie indépendante au championnat d'Europe a éclipsé des mois de tensions autour de la loi sur « l’influence étrangère », finalement promulguée.
Cet essai démontre comment le régime poutinien et ses idéologues agissent afin de détruire notre société de l’intérieur et en faire un affidé de Moscou.
Des représentants de la France à Moscou depuis 1945, il y en eut de pires et de meilleurs. Certains parmi eux ont manifesté un tropisme pro-russe parfois très poussé.
Dans les réseaux sociaux russes, on entend à nouveau des cris de sinistrés. Non, ce n'est pas à cause des répressions politiques ou de la guerre en Ukraine — ce sont les cris de ceux qui souffrent des années 1990.
En Europe, les esprits admettent enfin la profondeur de l’axe stratégique Pékin-Moscou, moteur des dynamiques anti-occidentales et du ressentiment impérialiste.
La Russie mène un travail de sape auprès des Ukrainiens eux-mêmes, mais aussi en infiltrant les cercles de décision occidentaux, à Washington et dans les capitales européennes. Empêcher le soutien occidental à une victoire finale de l’Ukraine et décourager les Ukrainiens de se battre jusqu’à la victoire, tels sont les objectifs russes qu’analyse et dénonce notre autrice.
L’ampleur et l’atrocité de l’attentat de Krasnogorsk ont secoué le monde, en faisant ressurgir des images sanglantes d’autres tueries de masse à travers le monde. Cependant, quarante-huit heures plus tard, on reste interloqué. Sans remettre en question la revendication de cet acte terroriste par la branche afghane de Daesh,...
Comme beaucoup de pro-Poutine, Caroline Galactéros fait preuve d’une certaine prudence pour ne pas ouvertement défendre ce qui est indéfendable, à savoir l’agression russe contre l’Ukraine, mais, comme le montre Vincent Laloy, elle n’a pas changé de bord, loin de là…
La guerre contre l’Ukraine n’a guère infléchi la position,...
La réouverture d’un front sanglant contre Israël par Hamas et le Hezbollah n’est pas une énième péripétie proche-orientale. La Russie, l’Iran et le régime de Damas sont à l’arrière-plan, avec des objectifs variés mais solidaires les uns des autres.