L’économie russe, y compris son complexe militaro-industriel, montre des signes d’épuisement. Il serait fâcheux que les Occidentaux cèdent aux pressions des pacificateurs, alors que l’autocratie moscovite est elle-même au bout du rouleau.
Alors que la France avait accompli ces derniers mois des progrès conceptuels remarquables dans son soutien à l’Ukraine, une victoire de l’extrême droite pourrait les remettre en question au pire moment.
Cet essai démontre comment le régime poutinien et ses idéologues agissent afin de détruire notre société de l’intérieur et en faire un affidé de Moscou.
À la veille de législatives cruciales pour la France, notre auteur dénonce des cas de collusion entre l’extrême gauche et l’extrême droite et parle de quelques « aficionados » de Vladimir Poutine.
Des représentants de la France à Moscou depuis 1945, il y en eut de pires et de meilleurs. Certains parmi eux ont manifesté un tropisme pro-russe parfois très poussé.
La culture politique russe a déjà imprégné certains cercles politiques américains. Heureusement, l’opinion américaine demeure majoritairement favorable à Kyïv tout comme l’establishment républicain.
Notre auteur poursuit sa série de portraits de poutinolâtres, hélas, nombreux en France. Il dresse ici le portrait de Nicolas Dupont-Aignan, homme politique et chef du petit parti Debout la France, trois fois candidat à l'élection présidentielle.