La guerre russe en Ukraine n'est qu'un symptôme de tendances plus larges, et son issue aura une influence importante sur la direction dans laquelle le monde évoluera.
Il est temps, pour une Union européenne géopolitiquement plus affirmée, de repenser géographiquement et d'élargir thématiquement sa politique orientale.
La première participation de la Géorgie indépendante au championnat d'Europe a éclipsé des mois de tensions autour de la loi sur « l’influence étrangère », finalement promulguée.
L'ancien Premier ministre de la Géorgie explique dans cet entretien quels sont les enjeux de la loi sur les agents étrangers qui a provoqué un véritable tollé au sein de la société géorgienne.
La profonde antipathie que les dirigeants géorgiens actuels nourrissent à l'égard de l'Ukraine remonte aux premières années du parti au pouvoir Rêve géorgien, qui a sapé un partenariat stratégique de près de vingt ans entre Kyïv et Tbilissi depuis les premiers jours de l'indépendance.
L’invasion de la Géorgie démocratique par l’Armée rouge, en 1921, a permis le contrôle des bolcheviks sur la mémoire nationale. Les mensonges et les falsifications de l’époque ont toujours cours aujourd’hui.
Dans son nouveau livre, La Guerre permanente, Marie Mendras analyse les cinq guerres que Poutine a menées depuis son arrivée au pouvoir en 1999. Nous en publions des extraits.
Emmanuel Carrère vient de publier « Un roman géorgien ». Dans cet article, « l’écrivain français part à la rencontre de sa cousine Salomé Zourabichvili, présidente de la Géorgie, pour raconter l’histoire de ce pays qui tente de s’affranchir de la Russie ». Régis Genté, journaliste français installé à Tbilissi depuis 2002, passe au crible la description de la Géorgie faite par Carrère, « tronquée » et « approximative », selon lui.