Tag : occident

Trop peu, trop tard : pourquoi une grande guerre se profile et risque de faire éclater l’OTAN

L’auteur appelle à la création d’une coalition de pays européens destinée à assurer la sécurité du continent.

Sur l’Axe du Mal et la désignation des puissances hostiles à l’Occident

Leur niveau de coordination est déjà très supérieur à celui des puissances de l’Axe avant la Deuxième Guerre mondiale.

Munich à petit feu et le retour du féodalisme

Le temps perdu rend de plus en plus difficile la mise en échec du projet de vassalisation du monde que poursuivent Xi Jinping et Poutine.

Les trois fronts de l’Ukraine

Elle doit se battre non seulement contre l’ennemi russe, mais aussi contre les peurs, les préjugés et la procrastination de l’Occident.

La souveraineté française et les solidarités occidentales face à l’axe Moscou-Téhéran-Pékin

L’exercice concret de la souveraineté requiert un certain nombre de conditions, dont la claire conscience des enjeux de l’époque.

Sur la diplomatie indienne, l’Eurasie sino-russe et l’Occident : vers une métamorphose géopolitique de l’Inde ?

On affirme souvent que l’Inde, avec l’Iran, fait partie de ce club anti-occidental. C’est oublier que les différends entre la Chine et l’Inde sont anciens et profonds.

De la vanité du « concept » multipolaire

Largement usité par Moscou et Pékin, le terme de « multipolarité » l’est aussi à Bruxelles et même aux États-Unis. les développements de ce conflit hégémonique mondial tendent nécessairement vers une forme de bipolarité.

Le déni occidental de l’européanité de l’Ukraine et ses conséquences

La perception de l’Ukraine par les Occidentaux a été influencée par le « savoir impérial » russe. La longue non-reconnaissance de l’européanité de l’Ukraine par l’Europe a renforcé les ambitions russes. 

Jean-Sylvestre Mongrenier : « Les États européens ont les moyens de résister à la pression russe »

Nous sommes à l’heure de la vérité. Quelle forme une attaque russe contre un pays européen pourrait-elle prendre ?

Déstalinisation et dépoutinisation

La Commission électorale russe n’a pas validé la candidature de Boris Nadejdine. Pour l'historienne, l’apparition d’un tel candidat, même rejeté, est un signe d’un après-Poutine qui s’annonce.

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